Je ne crois pas avoir le temps de redescendre de mes nuages et HOP, que j'y serai à nouveau dans moins de 24h.
Nous sommes allés manger au restaurant pour ma dernière soirée avec toute la petite famille (Youpie pas de vaisselle!!!!!!!).
En rentrant à la maison, on emprunte le chemin qui longe le canal. Le ciel est mauve, rose et bleu. Le Beemster me dit Au revoir. Assise sur le dernier banc de la grosse Volks familiale, je regarde par ma fenêtre et je vois mes 11 mois défiler sur l'eau.
Je me rappel la première fois que l'on a emprunté cette route, 11 mois plus tôt. Ce qu'on chantait à la radio, j'y comprenais rien. Ce que les enfants se racontaient, j'y comprenais rien non plus. C'est donc dans une toute autre atmosphère que je longe ce chemin pour la dernière fois.
Chaque clignement de paupières est un dernier moment que j'immortalise au fond de ma rétine.
Ik Houvan Je Holland. (Je t’aime Hollande)
Suivez-Moi!
8.7.11
7.7.11
Achtenveertig uur !
Samedi
Samedi le 9
Samedi le 9 août 2011…
C’est tout ce qui tourne et retourne dans ma tête depuis lundi.
Un samedi qui me semble à des années lumières et pourtant si proche à la fois. Qui me semble si irréel, mais qui sera teinté de tout ce qu’il y a de plus réel, de plus vrai. Alors c’est vrai, je rentre à la maison? Ce n’est pas qu’une mauvaise blague?
Je fais ma valise sans trop comprendre pourquoi.
Les sourires qui décoraient ma chambre depuis plusieurs mois m’observent m’agiter avec interrogation et me demande pourquoi je les dégomme des murs. Les piles de vêtements sur mon tapis me dévisagent et n’omettent pas de me mentionner qu’ils n’ont pas envie de se serrer les uns contre les autres dans le noir pendant plus de 7h de vol. Enfin…
J’ai le trac, mais un bon trac.
Je suis enthousiaste face à tout ce qui m’attend à la maison; La famille, Géro, l’Université, l’été et un garçon. J’ai ne réalise pas encore que je quitte le Beemster, pas seulement pour un weekend, mais pour de bon cette fois ci. Que dès samedi, je passerais de l’anglais au français, de la vaisselle à l’animation et de la vie d’Au pair à celle d’une jeune étudiante universitaire.
10 mois derrière. 2 jours devant, mais qui filent si lentement.
Vivre à l’étranger n’aura pas toujours été facile, mais j’y aurai pourtant vécu les plus beaux moments de ma vie.
48 HEURES
À suivre…
Samedi le 9
Samedi le 9 août 2011…
C’est tout ce qui tourne et retourne dans ma tête depuis lundi.
Un samedi qui me semble à des années lumières et pourtant si proche à la fois. Qui me semble si irréel, mais qui sera teinté de tout ce qu’il y a de plus réel, de plus vrai. Alors c’est vrai, je rentre à la maison? Ce n’est pas qu’une mauvaise blague?
Je fais ma valise sans trop comprendre pourquoi.
Les sourires qui décoraient ma chambre depuis plusieurs mois m’observent m’agiter avec interrogation et me demande pourquoi je les dégomme des murs. Les piles de vêtements sur mon tapis me dévisagent et n’omettent pas de me mentionner qu’ils n’ont pas envie de se serrer les uns contre les autres dans le noir pendant plus de 7h de vol. Enfin…
J’ai le trac, mais un bon trac.
Je suis enthousiaste face à tout ce qui m’attend à la maison; La famille, Géro, l’Université, l’été et un garçon. J’ai ne réalise pas encore que je quitte le Beemster, pas seulement pour un weekend, mais pour de bon cette fois ci. Que dès samedi, je passerais de l’anglais au français, de la vaisselle à l’animation et de la vie d’Au pair à celle d’une jeune étudiante universitaire.
10 mois derrière. 2 jours devant, mais qui filent si lentement.
Vivre à l’étranger n’aura pas toujours été facile, mais j’y aurai pourtant vécu les plus beaux moments de ma vie.
48 HEURES
À suivre…
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